Ce premier hiver en Normandie …, nous poursuivons toujours notre bonhomme de chemin de notre vie perso …, ou professionnelle.

………. N’étant pas toujours facile avec la neige …, d’aller commander les conducteurs à bicyclette …, risquant à tout instant de déraper, et de vous fiche la figure en l’air.

…….. Ou, que votre roue avant …, se coinçant dans la rigole du rail subsistant de l’ancien tramway, caché sous la neige …, vous fasse tomber.

Et en plus …, quand vous avez une nappe de brouillard à couper au couteau …, où, vous n’y voyez pas à deux mètres, à ne pas pouvoir lire le nom des rues.

Alors que sortit de celle-ci …, vous vous retrouvez avec un soleil magnifique.

Nous continuons de nous voir …, Roland, Jeannine …, et moi.

Étant parisien …, ayant compris qu’il avait encore des parents à Paris.

…….. Je n’ai jamais su …, dans quelles circonstances il s’était retrouvé avec sa mère et sa sœur en Normandie.

Si je ne suis pas du tout osé …, lui, est de ces audaces …, de ces toupets.

C’est ainsi, par exemple, qu’un jour …, il m’emmena manger au restaurant universitaire.

……. Où …, nous mangeâmes, personne ne nous demandant le moindre justificatif, pour le même prix qu’un étudiant.

…… Lui …, discutant avec les étudiants, étudiantes là …, inventant de ces histoires à dormir debout …, qu’il était étudiant en je ne sais quoi.

…… Moi …, ne disant trop rien …, faisant semblant d’avoir la tête ailleurs.

Ou ……, lorsque j’ai trois jours de repos, prenant des fois deux ou trois jours de congé en sus …, j’en profite pour revenir quelques jours à Saujon, à la maison. 

…….. Au passage en profitant …, pour m’arrêter une coupe d’heures à Niort …, pour voir Mr et Mme Bretin.

…….. Jacqueline, leur fille …, mon amie d’enfance …, étant maintenant dans ses quinze seize ans.

……… Ne la voyant plus comme la petite fille avec la quelle je m’amusais …, mais comme une jeune fille.

……… Toute fois …, je ne ressens pas  …, de sentiment amoureux envers elle.

……… Elle est toujours …, mon amie d’enfance.

Mars 1953 …, cela fait dix mois, à quatre cinq jours près, que je suis en Normandie …, dans les chemins de fer.

Le 1^erdu dit …, je passe, ainsi que les trois autres Facteurs auxiliaires, du statut d’auxiliaire …, à celui à l’essai.

……. Période d’épreuve probatoire d’un certain temps …, avant de passer dans le cadre permanent jusques à la retraite.

Maintenant nous avons droit à une carte de circulation en 3^èmeclasse …, donnant droit à une réduction de 90 pour cent, 75 dans les rapides …, dans les trains des lignes de la SNCF.

…….. Ainsi, qu’à, d’office, à un certain nombre annuel de permis de circulation gratuite …., auparavant, chaque fois que nous en avions besoin ….., devant en faire la demande au Secrétariat.

Mai 1953.

…….. Nous sommes invités ma mère et moi …, à la communion, à Mende, Lozère …, de Jean Pierre et Catherine, enfants de mon cousin germain, André Alphonse Nassivet.

…….. Fils de ma tante, Marie Thérèze, décédée à Burie, Charente Maritime, en février 1953 …, et de Pierre Alphonse Nassivet.

……. Marié avec Jeanne Marie Antoinette Tesseron …, d’où, Élisabeth, née en 1934.

…….. Divorcés …, remarié avec Anne Marie Candé …, d’où, Jean Pierre, né en 1941…, Catherine, née en 1942 …, François, né en 1944 …, et, Marie Thérèze, née en 1948.

Jusqu’à là …, ma mère était plutôt en mauvais termes avec les siens …, c’est à l’occasion du décès de sa mère, ma tante, dont je n’étais pas au courant, qu’André Alphonse renoue les relations avec celle-ci.

À suivre …………………